Parce qu'on ne choisit pas sa famille, et en conséquent, et surtout pas ses parents. On grandit dans la voie qu'on nous indique, nous refermant des portes, nous en ouvrant d'autres, bref, c'est bien compliqué tout ça, mais c'est bien ce qui fait que chacune des personnes sur terre sont différentes, ou presque car la copie existe partout n'est-ce pas. Sinon, pourquoi vous avoir raconter tout ce baratin ? Tout simplement parce qu'Opale, est une de ces filles, qui aurait bien préféré vivre sa vie différemment, et surtout, accompagné de personnes différentes.

Tout débuta par la naissance - pour ne pas changer voyons - Hôpital privé, drap soyeux, chambre limeuse et bien spacieuse. C'est clair qu'ouvrir pour la première fois ses yeux dans un monde comme celui ci, ça dessine déjà directement toute notre vie n'est-ce pas ? Des ses premiers instants, sa mère lui dessiner une grande carrière dans le mannequinat, ou même en temps que styliste dans une grand boîte bien populaire, c'est quand même un sacrée ventage d'avoir rune mère pouvant nous ouvrir toutes les portes dans une carrière en un seul coup de fils, et oui, c'est ce qui s'appelle avoir des amis hein ?! Donc oui, la vie d'Opale semblait vraiment être une des meilleures, mais le semblait, n'est pas là pour rien.

Le début des hostilités entre elle et son père commença bien tôt, vers les dix ans elle comprenait déjà que son père n'était rien d'autre qu'un petit con qui se servait de sa mère pour l'argent. Mais parlons plus amplement du petit "con" qui lui sert de père : homme n'ayant pas assister à l'accouchement simplement pour ne pas louper la course sur laquelle il venait de parier - mais ça, faut pas le dire -, il change de maîtresse tous les mois tout en manipulant sa femme pour faire en sorte qu'elle ne se doute de rien et pour finir, vient de demander le divorce après avoir ouvert son club avec des associés avec l'argent de madame; voici se qu'on appelle, charmant. Enfin bref, sa fille ne l'aime pas, et cela semble être parfaitement réciproque, sans le caché. Blâme en publique, critique, et même insulte. Alors si ça c'est pas de la relation père fille.

Nous voici à présent huit ans plus tard. Belle grande, et toujours aussi blonde, notre petite Opale ne l'ai plus tellement on va dire. Elle ne voit plus son père depuis un bout de temps et ne préfère même pas en entendre parler, comme quoi, c'est un peu le sujet tabou chez elle. Sinon, elle sort, beaucoup, voir même beaucoup trop, beaucoup beaucoup trop. Elle boit se drogue et tout ça hors contrôle de sa mère qui était donc tellement autoritaire bien avant. Elle était, jusqu'à ce qu'elle découvre qu'elle couvre un cancer. Bien sûre, c'est ce qui déclencha aussi le comportement de Opale, le fait donc de boire, et de se droguer, comme quoi, ça à vite basculé, car c'est vrai, pendant les sept ans où son père est partis, ils vivaient comme sur un petit nuage, comme quoi, toutes les bonnes choses on une fin, et les meilleures une choses une bien pires d'après ça... Enfin bon, on se comprend non ?!

Nous voici un an plus tard. Opale à le maquillage qui coule sur ses cernes, elle à les yeux fatigués, et a une bouteille dans la main. Après tout, chacun ça façon de faire son deuil, de deuil de qui ? De sa mère; morte de son cancer des poumons, comme quoi, y'a pas que la cigarette qui a du les endommager. Donc pour résumer, la mort de sa mère la fit passer par un moment très dure et très lourd à supporter. Bien sûre, ce n'est pas le fait de devoir trouver du travail pour devoir subvenir qui à était le plus dure, ben oui, avec l'argent que maman avait gagné ça suffirait encore pour deux siècles hein. Non non, le plus dure, c'est de n'avoir plus personne sur qui se reposer - Opale étant très renfermer sur elle même et peu sociale - le plus dure c'est de ne plus avoir pu non plus avoir quelqu'un à côté d'elle qui la comprenne, enfin tout simplement de ne plus avoir de mère.